Ces bons chiffres sont à relativiser. En effet, il parait nécessaire "d'éviter de trop fortes concentrations d'étudiants originaires d'un même pays". On risque un "repliement identitaire, voire de ghettoïsation". Enfin on peut s'interroger sur la baisse d'attractivité de notre université sur son bassin de vie : alors que le nombre d'inscription stagne, la proportion d'étudiants étrangers a augmenté. Une étude sur les attentes des bacheliers insulaires et pourquoi ils semblent se "désintéresser" de notre université semble urgente.
La note complète de Campus France est disponible en bas de cet article.
Sources :
http://www.educpros.fr
http://www.campusfrance.org