La présidence Obama est plus faible que ses supporteurs - y compris notre journal - le pensaient. Nombre de
ses plus farouches soutiens - des commentateurs de gauche, des donateurs, des leaders du parti démocrate - ont commencé à s'interroger à son propos. (...) Et les sondages montrent que
les électeurs indépendants sont à nouveau en majorité favorables aux Républicains, un sérieux revers comparé aux semaines précédentes. La popularité d'Obama, autrefois à des
hauters célestes, est aujourd'hui au niveau de Bush. Malgré sa large victoire électorale, la confortable majorité dans les deux chambres et la bienveillance de son
électorat, Mr. Obama est curieusement bien fébrile.
The Economist
Je rappelle qu'Obama est à son poste depuis... deux mois.