Disons que la récession est bien loin quand on voit la masse de gens qui achètent des sacs Louis Vuitton ou Gucci. J’ai même vu une petite fille de 10 ou 11 ans en train de s’acheter un sac à X milles euros (avec sa mère, évidemment).
Tout ça est une expérience à vivre, mais je me sentais nettement plus heureux une fois de retour sur le trottoir que dans ce temple de la consommation.
Plus tard, nous avons marché tranquillement vers la Seine dans la foule qu'il y'avait en ce vendredi. Comme la dernière fois, y a une chose qui me frappe à Paris : y a du monde ! Cette ville est magnifique, elle est absolument splendide, y a des monuments partout, des édifices à couper le souffle, des églises spectaculaires... mais y a aussi une multitude d'autobus, de voitures et de motos, il y a du bruit et ça sent le diesel. C'est une grosse ville qui est assez loin de l'image romantique qu'on s'en fait avec les films, les photos et la littérature.