Voila, déjà de retour de notre périple au Méxique… L’aventure est terminée et dur retour à Nouillorque. Pour résumer en une phrase : “Après la chaleureux bordel méxicain… retour dans la froide rigueur Nouillorquaise” (copyrighted thomas).
Inutile de préciser : climatiquement et culturellement parlant, on est biensûr sur une autre planète. Tu le ressens rapidement quand tu descend de l’avion à LaGuardia Airport un mardi soir 21h00 (le 24 mars 2009 : c’est super important de le préciser…) avec tes tongues, tes coquillages et ton tuba qui dépassent de ton sac-à-dos après le passage aux douanes : le climat et l’accueil est moins “caliente”. Au Méxique, tu arrives par exemple à être invité par des inconnus à des soirées le jour même [je ne parle pas de ceux qui te proposent des bonbons au caramel...] ou prendre le numéro de téléphone d’Enrique et de sa femme Claudia, ton chauffeur de taxi d’un soir que tu ne connais que depuis 10 minutes et qui a déjà eu le temps de te raconter une bonne partie de sa vie au volant de sa Coccinelle.
Le Méxique c’est aussi toutes ces buvettes estampillées Coca Cola (ou Pepsi…) dans ces villages au milieu de la jungle avec pour rappel à côté du logo Coca-Cola :”Fe en Dios” (Foi en Dieu), le peso qui te paraît tellement plus léger que le dollar et qui te permet de te payer un hôtel sur la plage avec l’eau turquoise les pieds dans l’eau, son histoire et ses sacrifices humains et puis tous ces animaux que tu ne vois jamais en France (à moins d’être au zoo) : crocos, serpents, aigles, raies-manta, tortues & compagnie !
Voila, sans plus attendre, les photos sont sur Picasa sur le lien suivant :
MEXICO
h@sta luego,
Thomas