J'ai quelques
mains en stock, mais pas de temps, même le quart d'heure qu'il faut pour une main. Et quand je délaisse ainsi ce petit espace d'écriture, je me sens à son égard comme avec un ami malade que je
négligerais, que j'oublierais de venir visiter. Je vois comme une imploration, un visage qui attend son écriture.
Ce n'est pas l'attente d'autrui dont je parle, c'est de la mienne.