Je suis triste, triste de cette vie,
De les voir absents, au coeur si rassit,
Bien loin de mes tgourments, mes problèmes ici,
Je croyais un moment leur amour minci,
Et puis de quel honneur ils ont si grand oubli,
De connaitre la joie d'une famille unie,
Pour ceux d'indochine, ils sont les quarterons,
Et de la pureté donneurs de leçons!
Qu'ils aillent aux enfers de n'avoir choisi,
L'honnêteté fidèle d'un passé resplendit,
Issus d'un sicile de mille colonies,
Normands et puis les maures ils ont été conquis!
Du monde d'uajourd'hui ils sont les faussaires,
Idéaux d'un oubli ils s'en donnent l'air,
Heureux de leurs enfants ils ne sauront que faire,
Si la progéniture choisit une autre terre!