Oracle s'intéresse donc au Web2.0 et à son utilité pour rendre les commerciaux plus efficaces. De façon assez surprenante, Oracle commence par critiquer la logique des outils CRM ("Le CRM utilise une approche « descendante » pour automatiser les processus métier, collecter les informations et analyser les données. Au lieu de se conformer à la façon dont les commerciaux travaillent, l'application leur impose de s'adapter à son propre mode de fonctionnement. "), voire la logique applicative informatique au sens large ("Il y a un décalage évident entre les services offerts dans les applications et les réels besoins des commerciaux. " / "La plupart des applications ne sont pas intuitives."). Surprenant, non ?, pour une entreprise dont le coeur d'activités repose quand même largement sur ces systèmes applicatifs structurés au travers des bases de données. Le constat est toutefois assez juste : effectivement, les systèmes de CRM en informatique traditionnelle sont plutôt mal perçus par les...
Allez sur le site source à l'origine de cette information.