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"Les paysages chez Lamartine"(16/20)

Publié le 26 mars 2009 par Lauravanelcoytte

dea lamartine.jpgLes Méditations (1820) paraissent après le décès de Julie Charles qu’il avait rencontrée au bord du Lac du Bourget. Ce recueil lyrique, considéré comme le premier du romantisme, est un énorme succès. Les Nouvelles Méditations (1823) sont publiées après son mariage avec Mary-Ann Birch. Si nous avons choisi d’étudier les paysages dans ces deux recueils, c’est parce que les vibrations intimes de Lamartine sont inséparables des paysages naturels qu’il contemple.

Comme nous, Michel Collot[1] a consulté les définitions du mot « paysage » dans divers dictionnaires et les résume ainsi : «  tout paysage est perçu à partir d'un point de vue unique, découvrant au regard une certaine étendue, qui ne correspond qu'à une « partie » du pays où se trouve l'observateur, mais qui forme un ensemble immédiatement saisissable. Or chacune de ces caractéristiques témoigne à sa façon du lien qui unit la notion de paysage à celle d'horizon [2]. »

Nous nous intéresserons à cette relation entre paysage et horizon dans notre deuxième partie après avoir étudié le vague qui règne dans les paysages lamartiniens. Dans la dernière partie, nous nous pencherons sur le clôt et l’ouvert dans l’espace lamartinien.



[1] L’horizon fabuleux. I. XIX e siècle. Librairie José Corti, 1988.

[2] Ibid., p. 11.

Je supprime ce travail universitaire de mon blog -ainsi que les autres-  car il est trop utilisé sans mon accord, sans me citer et tel que par des lycéens ...qui ne font pas ainsi les recherches que j'ai faites.

CF. CATEGORIE "LAMARTINE"


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