Les établissements désignés devront par la suite faire l'objet d'un « diagnostic de sécurité centré sur les mesures anti-intrusion ». La circulaire précise que : « Une attention particulière devra être portée à la configuration des clôtures et des portails, ainsi qu'aux conditions de surveillance » et qu'il faudra « traiter la question de l'installation de dispositifs de vidéoprotection au sein des locaux ». Les diagnostics ainsi que « leurs conclusions matérielles » devront être remis au plus tard le 15 mai.
Par la suite, « Les établissements repérés devront ensuite déployer dans leurs locaux [...] des policiers ou gendarmes référents, à l'exemple de ce qui est aujourd'hui généralisé dans certaines académies ». Le gouvernement précise que si les policiers ne seront pas nécessairement toute la journée dans les établissements, ils « seront susceptibles d'intervenir en tant que de besoin sur les problématiques de sécurité de l'établissement ». Ils auront aussi la charge de participer à l'« élaboration des diagnostics de sécurité comme aux opérations de prévention ».