The Prestige: Fan Spotted

Re-salut les lémuriens !
Comme je vous l'avais promis, un billet cinéma. J'ai d'abord pensé à parler d'une nouvelle sortie mais apparemment y'a que de la daube ou des films trop sérieux pour moi en ce moment dans les salles (tiens sa m'étonne xD). Je vais donc parler de mon film préféré (c'est rare qu'il y ai un sommet de podium avec un seul vainqueur dans mes préférences). J'ai nommé *Roulement de tambours*

Alors, pour répondre tout de suite à la sempiternelle question qu'on m'impose à chaque fois que je parles de ce film: Non ce n'est pas un film avec un bateau !!
Et qu'est-ce qu'il a de si exceptionnel ce film?
Tout d'abord il se rapproche du Steampunk (futur ou la machine à vapeur aurait pris le pas sur l'invention du moteur à combustion), thème qui m'est cher parce que synonyme de "classe ultime": chapeau haut-de-forme, couleurs sombres (avec une prédominance du brun), lampes-à-huile,...

Classe non? Bon, j'avoue que j'emploie le mot Steampunk a tort et à travers, en fait c'est l'époque qui joue ici et il n'est pas question de futur mais bon, retenir un numéro de siècle c'est trop pour moi puis sa dit rien à personne (sauf aux historiens) donc je continuerai a utiliser Steampunk pour XIXe siècle (na!).

Bon, autant prévenir, je suis pas doué pour faire la critiques des acteurs mais sachez que le casting, le jeu et le doublage français (Bouh il regarde pas les films en Vo c'te noob !) sont excellents. Niveau doublage, ils ont gardé un accent anglais pour la prononciation des noms ce qui rend super bien. Cerise sur le gâteau, Christian Bale (The Machinist, 3h10 pour Yuma, I'm Not There,...) tient un des deux rôles principaux *Cri hystérique de groupille*.
Citons également Hugh Jackman (Wolverine dans le premier X-Men) qui tient ici l'autre premier rôle, Michael Caine, Scarlett Johansson et David Bowie difficilement reconnaissable.

Troisième truc qui fait de ce film le meilleur ever, la technique. Alors là je sors un panier de fleurs et je les jettes sur toute personne liée à la réalisation de The Prestige (Private joke: on se demande où je vais chercher mes idées ;) ). Si je critique souvent les grosses productions, c'est parce que le réalisateur gaspille de l'argent dans des films scénarios moisis. Ici non, The Prestige est une oeuvre d'art tant au niveau visuel que sonore et le scénario est une pure merveille. Il n'y a ni gentil ni méchants, seulement des humains (= prêts à toutes les pires saloperies pour réaliser leurs rêves).

Voila, le décor est posé, plus qu'a parler de ce que sa raconte (parcqu'au fond c'est le plus important).

La vache je suis pas doué pour résumer les bons films (les mauvais c'est facile on peut spoiler). *Tente un résumé minable*

Hem... Bon vais plutôt en pomper un tout fait et le modifier légèrement pour éviter le spoil , merci Wikipedia:

L'acteur britannique Christian Bale incarne le rôle d'un magicien du XIXe siècle, jugé pour l'assassinat supposé de son rival Robert Angier (Hugh Jackman). Le film raconte les années de rivalité qui opposent les deux hommes [...] et qui se manifeste principalement autour d'un tour de magie nommé " l'homme transporté" que les deux hommes se disputent, avec pour toile de fond les recherches sur l'électricité de Nikola Tesla [...].
La signification du titre du film provient de l'une des trois étapes (inventées dans le livre) que comporte un tour de magie, comme cela est expliqué dans le film. La première étape se nomme la "promesse", où le magicien montre au public quelque chose qui semble ordinaire, mais ne l'est pas. La seconde étape consiste en l'exécution, le "tour", ou le magicien rend l'acte ordinaire extraordinaire. Le "prestige", titre du film et étape finale de l'illusion, est la partie du tour de magie où l'imprévu se produit.

La construction du film va donc être marquée par ces trois parties pour nous mener jusqu'à son final grandiose, le prestige.

Et si après sa vous en voulez encore, tout comme moi, je vous conseille "The Illusionist" qui est egalement un excellent film sur le thème de la magie.

Rien à redire, je m'incline et " Abracadabra " je disparais.