Je t’en ficherai de la banane. Au co-prince d’Andorre : il paraît qu’il s’est vanté il y a peu de ce titre… en fait de «couronne» qu’il semble si désireux de porter, je le coiffe d’autor de celle de Roi Dec ! Surmontée d’un entonnoir.
J’ai survolé le compte-rendu de son discours qui laisse force journalistes sceptiques. Du vent, style «pets de lapin»… Un vrai moulin à vent. Mais voilà, avoir «causé» lui suffit, conformément à sa mentalité magique : j’ai parlé, ya pu de problème.
Les propos délirants de Nicolas Sarkozy, tels que rapportés par 20 minutes Qui a dit: «J’ai la banane» méritent d’être rapportés pour leur poids de suffisance irresponsable et d’oubli des problèmes des Français.
«Je me fais taper dessus mais j’ai la banane. C’est dur pour moi aussi mais en même temps, je rêvais d’être président de la République et je le suis, donc ça va…» (…) «Je comprends que c’est très dur pour vous, mais la crise nous rend notre liberté car on ne réfléchissait plus avant. La crise nous donne la possibilité de renouveler notre corpus idéologique» (…) «La période est formidable pour nous parce qu’on se tourne vers nous, les politiques. C’est nous qui conduisons le bateau, on n’a pas le droit d’avoir peur. Les gens nous seront reconnaissants de tenir le cap. On a besoin de vous et ça paiera». Sous-entendu en 2012… ajoute le journaliste.
«Je rêvais d’être président de la République et je le suis, donc ça va…» !
C’est tout ce qu’il voit… Pur exercice de «gonflette» auto-suffisante. La banane, mieux que la DHEA ! Quant à savoir si les gens lui seront reconnaissants de «maintenir le cap» qui nous fait foncer tout droit dans le mur, l’avenir nous le dira. Mais comme il y a déjà eu trop de cons pour l’élire, on peut tout craindre de la connerie.