Avant de vous en dire plus sur ce produit indispensable du printemps, revenons sur l’histoire du bronzage. Jusqu’au début du 19ème siècle, arborer une peau brunie par le soleil était synonyme de travaux dans les champs au grand air. Les élégantes préféraient donc se protéger du soleil avec ombrelle et chapeau pour garder leur peau laiteuse et afficher ainsi leur « rang ».
La petite histoire veut que ce soit Coco Chanel qui, dans les années 1920, après avoir libéré les femmes du corset et coupé leurs cheveux, ait lancé la mode du bronzage. Bains de soleil à Deauville ou sur la Côte d’Azur, croisières, Mademoiselle Chanel revenait hâlée de ses périples et lança la tendance à Paris.
Dès la fin des années 1930, avec la création des congés payés, les stations balnéaires se sont développées et multipliées. Ainsi, s’exposer au soleil est devenu une activité à part entière. La notion de bronzage, qui n’était auparavant qu’un phénomène physiologique inévitable, s’est peu à peu transformée en véritable mode. Ainsi, dans les années 50, une huile teintée colorante fut commercialisée et le premier véritable autobronzant fut lancé dans les années 60.
Cependant, médecins et scientifiques ont, ces dernières années, lancé des alertes contre les risques encourus lors d’une exposition prolongée au soleil. Cela a provoqué une désaffection pour l’exposition au soleil et il a fallu trouver des solutions de remplacement pour être bronzé. Les autobronzants se sont donc imposés comme l’une des alternatives les plus efficaces pour arborer un joli teint sans risque.
L’utilisation d’un autobronzant est doublement utile, comme le souligne le Dr Martine Baspeyras, dermatologue à Bordeaux :
Dans notre prochain article, nous reviendrons sur les 2 actifs autobronzants naturels (DHA et erythrulose) ainsi que le reste de la composition et les conseils d’utilisation.
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