Le chant des impossibles grésille à l’orée des possibles tel la césure de lumière sur les flancs du vide. L’éclair dessine les courbes parfaites qui se mêlent voluptueuses en distillant de nouvelles dimensions instant après instant. L’ombre perd la mémoire entre les parallèles en perdition, susurrant encore en vain, résistance portée à incandescence, les yeux fermés. Le sourire reste hors d’attente, juste pour éreinter le plaisir inconditionnel, sommet de dérision au plus fort de l’inextinguible aliénation.