Le nouvel opus de Damien Saez intitulé Yellow tricycle: A lovers prayer est donc sorti le 16 Mars dernier et ,après une écoute attentive de ce son, je vous livre mes impressions.
Pour rien vous cacher j’ai pris une sacrée claque dans la face en me laissant porter par ce son expérimentalo-vintage qui surgit quand on presse la touche “play”.
La virée anglaise de SAEZ démarre doucement, j’avoue que sur la première chanson j’ai eu du mal à me faire à l’anglais de Damien mais sur les autres chansons pas de problème.
Avec cet album j’ai l’impression d’explorer à la fois une nouvelle facette de l’artiste, la langue anglaise modifie légèrement sa tonalité naturelle pour attérir a pays de Thom Yorke avec un timbre très ricochant et une certaine nostalgie dans la voix qui nous rappelle quelque peu les émois de cette époque où on posait Kid A dans le mange disque.
Pour moi c’est un franc succès vous l’aurez compris, les arrangements avec choeurs et riffs bien calés offre un résutat léché sur fond de son vintage avec jeux de reverb sur le micro et la signature Saez. On retrouve un peu la dynamique de “jours étranges”, “god blesse” et “Debbie”, enrichi de tout ce qui a suivi, un registre plutôt large est condensé dans ce bijou d’album, a mon avis les fans seront ravis.
Damien a muri, cet album est le fruit de son travail et ma fois ça fait plaisir, à l’époque où Lady gaga me donne envie de vomir en exerçant une pression malsaine sur mes tympans, Saez me nettoye le conduit auditif.
Merci Mr Saez.