Sommaire :
Alerte St Pierre et Miquelon :
Ca bouge aussi !
Un Nouvel Ordre Mondial chinois
à la place de l'Occidental ?
Editorial d'Eva
Mes amis,
Pour moi, la montée en puissance de la Chine représente une grande chance pour le monde, qui a tant besoin d'équilibre, de vision pacifiée, et - oserais-je le mot ? De Sagesse. La Chine, pays de
Confucius, saura-t-elle inspirer, par exemple avec la Russie et l'Inde, un autre cours aux événements ? Nous devons tous le souhaiter.
Ce pays représente aujourd'hui une véritable locomotive pour l'économie mondiale en perte de vitesse, essoufflée et même exsangue. Une bouffée d'oxygène, avec ses
liquidités : " Les entreprises chinoises se sont livrées à une débauche d’achats. Que ce soit en Iran, au Brésil, en Russie, au Venezuela, en Australie ou en France, elles ont fait main basse sur
des dizaines de milliards de dollars d’actifs, qu’elles ont pu se procurer à prix réduits en raison de la crise financière. Ces opérations ont permis à la Chine de s’assurer des réserves de
pétrole, de minerais, de métaux et d’autres ressources naturelles stratégiques dont elle a besoin pour continuer à alimenter sa croissance.."(Socio13.wordpress.com)
Mieux : En pleine débâcle financière planétaire, il semble que la Chine ait le désir de promouvoir un nouvel ordre mondial : " Xie Xueren a demandé à la communauté internationale d’accélérer les réformes des institutions financières internationales et de construire un nouveau système, “juste et honnête, compatible et ordonné ”.
De surcroît, la Chine appellerait de ses voeux une meilleure protection des intérêts des pays en voie de développement,
et une participation plus juste des Etats émergents dans les grandes institutions
internationales.
En clair, cela voudrait dire plus de justice, et donc plus de paix, moins d'égoïsme et d'unilatéralisme... Ce langage est totalement neuf - et d'ailleurs il rejoint celui de la Russie.
Sommes-nous à l'aube d'une ère nouvelle ?
Personnellement, au lieu de déplorer (comme les Médias vendus aux instances militaro-financières de l'Occident qui malmènent le monde) la montée en puissance de la Chine - et accessoirement de la
Russie et de l'Inde, ainsi que de certains pays d'Amérique Latine comme le Brésil et le Vénézuela -, je vois une chance pour la paix, et pour les peuples, se lever. Alors que l'horizon
s'obscurcit pour tous, l'espoir viendra-t-il de la Chine ? Avec un Obama aux Etats-Unis, même mal entouré et ligoté par les lobbies néo-sionistes, des morceaux d'un puzzle nouveau se mettent
peut-être en place sous nos yeux. Grâce à la sage prévoyance de nos amis chinois, qui ont su amasser pendant que nous dépensions sans compter dans une spirale consumériste sans fin, que nous nous
endettions d'une manière absurde, et que nous mettions en place un Système virtuel effroyablement inégalitaire, fou, et totalement irresponsable !
Alors, détournons les yeux de l'Occident prédateur et va-t-en guerre, et, pour une fois, observons l'astre chinois. Il nous réserve peut-être d'excellentes surprises, au moment où le désespoir
gagne toute la planète...
Eva
TAGS : Chine, Russie, Inde, Vénézuela, Obama, Etats-Unis, Nouvel Ordre Mondial, Occident, Médias, Xie Xueren, Australie, Iran,
Confucius, France...
La Chine n'attend rien du G20 :
La Chine pourrait poursuivre ses propres objectifs, selon certains analystes, si le sommet du Groupe de 20 (G-20) des pays industrialisés et émergents ne réussit pas à définir une stratégie de
relance de l’économie mondiale, à cause des divergences entre les États-Unis et l’Europe.
Publié 23 mars 2009 Chine , Economie
BEIJING, 18 mar (IPS) -
"On sait que l’échec des négociations internationales au sommet de Londres de 1933 a fourni
les bases de l’émergence des États-Unis comme puissance financière”, a remarqué un éditorial du journal influent chez les Chinois de Shangai Diyi Caijing
Ribao.
“Dans la cadre de l’actuelle débâcle, sans précédent, du système financier dépendant des
Etats-Unis, est-ce que la Chine pourrait aspirer à créer un nouvel ordre mondial si le sommet de Londre échoue? “le 2 avril, s’interroge-t-il.
La Chine n’espère pas grand chose de ce sommet du G-20, à en juger par la réthorique officielle.
Le vice-président de la banque Populaire de Chine, Wu Xiaoling,n’a pas été trés optimiste sur les résultat dans sa conférence de presse à Shangai. “Il est impossible que se dégage un accord
concret. Nous ne devons pas nous faire beaucoup d’illusions” a-t-il déclaré. ”Pour cela il nous faut hausser le ton”.
Et pourtant, Beijing a consacré beaucoup d’effort à la préparation du sommet. Des fonctionnaires des ministères de Commerce et de Finances, comme de la Banque centrale et comme de la Commission de Régulation Bancaire ont été envoyés à Londres au début de ce mois pour forger et pour faire avancer une stratégie unie à la réunion d’avril.
Divisés en deux groupes, ces autorités financières travaillent pour asseoir les bases de la participation de la Chine dans ces vastes négociations, en vue en particulier de la réforme du
Fonds monétaire international (FMI) et d’autres organes multilatéraux de crédit, pour définir l’ampleur et la coordination des mesures de stimulation et le commencement d’un
système de régulation internationale.
La position de la Chine a commencé à s’esquisser à la réunion de ministres des finances du G-20 du week-end, préparatoire du sommet d’avril.
Le titulaire du portefeuille Xie Xueren a demandé à la communauté internationale d’accélérer les réformes des institutions financières internationales et de construire un nouveau système, “juste et honnête, compatible et ordonné”.
Wu Xiaoling est d’accord avec Xie. Les nations industrielles doivent manifester une plus grande responsabilité dans la protection des intérêts des pays en développement et donner aux
économies émergentes plus de pouvoir dans les institutions internationales comme le FMI.
“Le FMI devra augmenter la participation des économies émergentes et traiter tous les membres avec égalité” a-t-il remarqué. “”Il faudrait mettre en application un nouvel ensemble de normes
pour réguler l’économie mondiale, autour des superpuissances”.
À la réunion de ministres des finances la grandeur du désaccord est restée également dévidente entre les États-Unis et l’Europe. Avec l’appui de la Grande-Bretagne et du Japon, des
fonctionnaires américains essaient d’obtenir un accord pour que les gouvernements poussent plus encore leurs mesures de stimulation.
Mais les nations européennes sont prudentes quand il s’agit de mesures d’accroissement de leur endettement. En revanche elles cherchent à promouvoir une plus grande régulation et une
supervision qui prétendent éviter une plus grande détérioration de l’économie mondiale.
Les différences entre les États-Unis et l’Europe et l’approfondissement de la crise économique ont détourné le débat sur la responsabilité de la Chine dans les déséquilibres économiques
internationaux, qui ont gangrené les cercles financiers à la fin de 2008.
A la grande désillusion de Beijing, les différentes opinions ont aussi repoussé le programme du sommet d’avril vers une augmentation des contributions au FMI, au lieu de discuter de sa
réforme.
“Les nations industrialisées ont laissé sur le bord de la route ce qui aurait du être le sujet central du sommet, comment réformer le FMI”, a soutenu Xu Mingqi, économiste de l’Académie de
Sciences Sociales de Shangai.
Au lieu de discuter sur la manière de redistribuer les droits de vote dans l’institution argumente Xu, les gouvernants auraient à décider comment créer un mécanisme monétaire qui s’applique
aux pays à devises fortes et qui sert à protéger les intérêts des investisseurs mondiaux.
Quant au premier ministre chinois il s’est rapporté au sujet dans sa conférence de presse annuelle de la semaine passée. Wen Jiabao a dit être “préoccupé” par la sécurité des actifs de la
Chine aux Etats-Unis, et a demandé à Washington des garantis à propos du maintien de leur valeur.
La Chine est le plus grand possesseur de bons du trésor des Etats-Unis. le montant de ses avoirs a grimpé à 696.000 millones de dollars le 31 décembre 2008.
Ce pays a aussi à lutter contre la chute de la demande internationale, alors que son économie basée sur les exportations en dépend, mais Beijing voit la crise comme une opportunité pour
faire avancer ses objectifs visant à augmenter son poids dans le concert mondial et sa voix dans les organismes multilatéraux de crédit.
Dans derniers mois, Beijing a fait les premiers pas vers la transformation de sa monnaie, contrôlée et partiellement convertible,dans le sens d’ une devise régionale par le truchement de
prêts et d’accords commerciaux régionaux établis sur la base du yuan.
De plus, la Chine a promis contribuer avec ses énormes réserves de divisées au fond de rachat du FMI à condition que son droit de vote augmente dans l’institution.
La participation des pays BRIC, le Brésil, la Russie, l’Inde et la Chine, dans le FMI est de 9,62 pour cent du total, environ la moitié de celle des États-Unis.
Quelques économistes chinois ont averti les autorités de ne pas compromettre des fonds vers le FMI avant que les États-Unis ne perdent leur droit de veto.
“Alors que si la Chine choisit d’injecter une grande quantité de l’argent au FMI, elle n’aura pas senti pour autant augmenter son poids de l’institution”, a dit Yu Yongding, président de l’Institut d’Économie et de Politique Mondiale, de l’Académie chinoise de Sciences Sociales,sur le site des nouvelles en anglais la Chine Daily, “puisque les États-Unis ont le droit de veto dans les décisions”
Mais d’autres spécialistes considèrent qu’il y a un plus grand espace pour que la Chine arrive à ses objectifs et propose une coopération directe avec les Etats-Unis.
“Je jouerais plus le G2, les États-Unis et la Chine que le G-20 pour résoudre la crise”, a remarqué Liu Yuhui, économiste de l’Institut d’Études Financières, de l’Académie de Sciences
Sociales.
“Je ne crois pas qu’il y ait des grandes progressions au sommet du G-20″, a remarqué Liu. “Le FMI est une institution avec un pouvoir économique distribué de forme rigide et il faudra
beaucoup de temps de changer le statut social quo”.
traduit par Danielle Bleitrach pour http://socio13.wordpress.com
(FIN/2009)
http://socio13.wordpress.com/2009/03/23/economie-chine-sans-attentes-pour-le-sommet-dug-20-par-antoaneta-bezlova/
Pékin fait son marché autour du monde
illustration : Tom Albanese, le directeur de Rio Tinto (métaux), et Xiao Yaqing, le président de
Chinalco signent un accord, Londres, 12 février 2009
DR
Grâce à leurs abondantes liquidités, les entreprises chinoises multiplient les achats à l’étranger. Aucun secteur n’échappe à l’appétit des investisseurs venus d’Extrême-Orient. La Chine signe
des contrats y compris avec l’iran malgré les mises en garde des Etats-Unis.
Au mois de février, les entreprises chinoises se sont livrées à une débauche d’achats. Que ce soit en Iran, au Brésil, en Russie, au Venezuela, en Australie ou en France, elles ont fait main
basse sur des dizaines de milliards de dollars d’actifs, qu’elles ont pu se procurer à prix réduits en raison de la crise financière. Ces opérations ont permis à la Chine de s’assurer des
réserves de pétrole, de minerais, de métaux et d’autres ressources naturelles stratégiques dont elle a besoin pour continuer à alimenter sa croissance. L’ampleur même des contrats perturbe les
marchés énergétiques et attise les craintes sur la disponibilité future de ces ressources et leur prix dans des pays comme les Etats-Unis.
Il y a encore quelques mois, de nombreux Etats accueillaient avec suspicion ces offres venant de Chine. Mais, à présent que les entreprises et les banques hésitent à fournir de l’argent à des
entreprises en difficulté ou qu’elles n’en ont plus les moyens, la Chine, qui dispose d’abondantes liquidités, est devenue une nouvelle locomotive du prêt et de l’investissement. Le 12 février,
le géant chinois de l’aluminium Chinalco a signé avec le groupe australien Rio Tinto un contrat de 19,5 milliards de dollars [14,4 milliards d'euros] qui doublera sa participation dans la
deuxième entreprise minière du monde. Les 17 et 18 février, China National Petroleum, la principale entreprise gazière et pétrolière, a signé avec la Russie et le Venezuela deux accords
distincts, en vertu desquels la Chine s’engage à fournir respectivement des prêts de 25 et 4 milliards de dollars en contrepartie de livraisons de pétrole à long terme. Enfin, la China
Development Bank a signé, le 19 février, un contrat similaire avec Petrobras, la compagnie pétrolière brésilienne, à qui elle a consenti un prêt de 10 milliards de dollars en échange de
pétrole.
Malgré le net ralentissement des flux financiers mondiaux, la Chine a considérablement accru ses investissements à l’étranger. En 2008, ses opérations de fusion-acquisition à l’international ont
représenté 52,1 milliards de dollars. En janvier et février 2009, les entreprises chinoises ont déjà investi 16,3 milliards de dollars à l’étranger. A ce rythme, le chiffre de 2009 pourrait
représenter le double de celui de l’année dernière. Les médias officiels chinois présentent cette frénésie d’achats comme un phénomène ne se produisant qu’une fois par siècle, et certains
analystes dressent un parallèle avec le Japon des années 1980. “Que la Chine ait commencé à investir ou à acquérir des entreprises de ressources minières à l’étranger à des prix relativement bas
pendant la crise économique mondiale est parfaitement normal. Le Japon en a fait autant pendant les années de sa bulle économique”, remarque Xu Xiangchun, directeur de Mysteel.com, une société de
recherche et d’études.
Les entreprises chinoises ne sont pas les seules à profiter de la crise économique pour venir en aide à d’autres tout en y trouvant leur compte. Le gouvernement chinois s’est lui aussi porté au
secours de pays en difficulté, tels que la Jamaïque et le Pakistan, dont il veut se faire des alliés, en leur consentant des prêts bonifiés. Les consommateurs chinois dépensent également leur
argent à l’étranger. Lors d’un voyage organisé en février par une agence immobilière, un groupe de 50 Chinois s’est rendu à New York, Los Angeles et San Francisco pour acquérir des immeubles à
des prix sacrifiés en raison de la crise immobilière. A la fin du même mois, le ministère du Commerce chinois a mis sur pied une expédition similaire mais en invitant, cette fois, des sociétés.
Le ministre, Chen Deming, a accompagné 90 chefs d’entreprise. Ces derniers ont signé pour 10 milliards de dollars de contrats en Allemagne, 400 000 dollars en Suisse, 320 millions en Espagne et 2
milliards en Grande-Bretagne. La plupart des transactions portaient sur l’acquisition de biens de consommation, parmi lesquels de l’huile d’olive, 3 000 Jaguar et 10 000 Land Rover. Le ministère
du Commerce a annoncé son intention d’organiser d’autres missions d’investissement à l’étranger dans le courant de l’année et il est probable que les itinéraires incluront les Etats-Unis, le
Japon et l’Asie du Sud-Est.
Les prochaines cibles pourraient être des constructeurs automobiles étrangers. Le 23 février, Weichai Power, un fabricant de moteurs Diesel, a annoncé sa décision de racheter pour 3,8 millions de
dollars les produits, la technologie et la marque de l’entreprise française Moteurs Baudoin, qui conçoit et fabrique des équipements de propulsion marine. Il s’agissait d’un contrat relativement
modeste, mais Chen Bin, le directeur général du département industriel de la Commission nationale pour le développement et la réforme, a laissé entendre que des acquisitions plus importantes
étaient en préparation. Dans les coulisses d’une conférence de presse sur l’économie donnée en février, il a rappelé que les constructeurs automobiles étrangers avaient des problèmes de
trésorerie tandis que leurs homologues chinois avaient “besoin de leur technologie, de leurs marques, de leur talent et de leurs réseaux de vente. Mais les entreprises chinoises auront des
difficultés à stabiliser les activités de constructeurs étrangers et maintenir leur croissance”, a reconnu Chen Bin, avant d’ajouter que, si les sociétés chinoises étaient partantes, “le
gouvernement les soutiendra[it]“.
Ariana Eunjung Cha
The Washington Post
Iran-Chine : un contrat qui dérange
Pékin et Téhéran ont conclu un contrat de 3,2 milliards de dollars (2,4 milliards d’euros) pour l’exploitation du gisement gazier de South Pars, dans le golfe Persique. La Chine doit aider l’Iran
à exploiter ce gisement, qualifié de plus grande réserve de gaz naturel du monde, rapporte le webzine iranien Mardomak. Le contrat prévoit la production de 10 millions de tonnes de gaz naturel
liquéfié (GNL) sur une durée de trois ans.
Les médias iraniens se sont fait largement l’écho de cette nouvelle. Ce contrat montre que la Chine
n’est pas très sensible aux appels lancés récemment par le président américain Barack Obama, qui a renouvelé les sanctions américaines contre l’Iran. Il a également demandé aux autres pays de ne
pas coopérer avec la République islamique, car elle refuse de suspendre son programme nucléaire, malgré plusieurs résolutions du Conseil de sécurité des Nations Unies en ce
sens.
http://socio13.wordpress.com/2009/03/23/chine-%e2%80%a2-pekin-fait-son-marche-autour-du-monde/
Alerte ! Saint-Pierre et Miquelon,
ça bouge aussi !
19/03/2009
Social : Un SOS à Sarkozy !
Plusieurs centaines de personnes de Saint-Pierre-et-Miquelon
ont formé mardi un SOS devant la préfecture.
Cette manifestation sous forme d’appel de détresse à l’attention du
président Nicolas Sarkozy était organisée par le collectif pour l’extension du plateau continental.
Agrandir la zone maritime
La population de cette collectivité, seule terre française en Amérique du Nord, veut que le gouvernement dépose une demande auprès des Nations unies pour agrandir sa zone maritime. Cette
réclamation est autorisée par une récente disposition du droit à la mer. La requête pourrait pousser le Canada, qui revendique également la zone, à s’asseoir à la table des négociations.
Saint-Pierre-et-Miquelon, archipel peuplé de seulement 6.000 âmes, pourrait ainsi obtenir certaines contreparties économiques, nécessaires au développement de la
collectivité.
La situation pourrait « dégénérer »
Pour l’heure, le collectif mène des actions pacifistes mais son coordinateur Bernard Lesoavec affirme que cela pourrait aller crescendo et que le "gouvernement devrait assumer l’entière
responsabilité si les choses devaient dégénérer".
Mardi, lors de la manifestation, les vitres de la préfecture, symbole de l’Etat, ont été bouchées avec des tissus, et des fusées de détresse ont été lancées vers la mer, qui a nourri par le passé
cet archipel et qui doit rester l’avenir de ce dernier, comme le proclament les banderoles des manifestants. "C’est l’avenir de nos enfants qui est en jeu", a affirmé un Saint-Pierrais.
"On se bat avec l’énergie du désespoir".
Le collectif veut une réponse avant la fin du mois. La France a d’ores et déjà demandé une extension de la sorte pour plusieurs de ces territoires ultramarins, comme les Antilles, la
Nouvelle-Calédonie et les îles Kerguelen.
http://saintpierremiquelon.rfo.fr/infos/actualites/social-un-sos-a-sarkozy_1616.html
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