
L'époque Mao semble avoir quelque chose de nostalgique pour ces étudiants qui dépensent pour leurs études, sans être assurés de quoi que ce soit. « À l'époque de Mao, tout le monde était égal, il n'y avait pas de privilèges. Mais, aujourd'hui, seuls les 'officials' sont riches et en bonne santé. L'égalité sous Mao, c'était une bonne chose », rapporte France 24.
Si l'on n'avoue pour autant pas les revenus liés à ces ventes, tout porte à croire qu'ils sont conséquents. De fait, selon ses estimations, il se vendrait 200 exemplaires par mois à l'heure actuelle. Mais l'engouement pour les doctrines maoïstes qui rassureraient les lecteurs est toutefois exempt de toutes les exactions liées à ce mouvement politique, qui a fait plus pour l'anéantissement des droits de l'homme que Marx pour le grand capital.
Manifestement, le gouvernement ne s'oppose pas non plus à la redécouverte du petit livre, et le librairie assure qu'il ne dépend pas de la volonté étatique concernant les livres qu'il propose. On trouve son réconfort où l'on peut...