Le jeu-vidéo mis de côté ce weekend, je n’ais pas été avare en visionnage de film. Tout a commencé avec Gran Torino le vendredi soir pour enfin finir avec Marley et moi le dimanche après midi.
Deux films et deux avis radicalement différents. Si j’ais adoré le dernier film de monsieur Eastwood (Dédicace à Mickael J. Fox, comprendra qui pourra) la comédie sentimentale canine ne pas inspiré un seul instant.
Gran Torino : Non ce n‘est pas un film tiré d’un jeu de voiture mais un film relatant de la vie d’un ancien combattant un peu hostile vis-à-vis de son voisinage non-américain. Le film débute sur les funérailles de la femme de Walt Kowalski (Clint Estwood). Dès le départ, on joue sur notre fibre émotive mais un fort contraste est posé avec le comportement de Walt face aux excentricités de la jeunesse. Tantôt triste, tantôt drôle, le film joue merveilleusement bien avec nos émotions pour nous compter l’histoire d’un combattant de Corée qui change d’opinion et de comportement face à ses voisins immigrants, méprisés autrefois. Un beau message sur le racisme, la famille et l’amitié sont posée dans ce film. Même si la fin pourra en décevoir plus d’un, Clint Estwood réussi à nous subjuguer une fois de plus.
VERDICT : 9/10
Marley & moi : Il y a deux façons de voir ce film. Si on ne chercher la petite bête, le film est drôle, amusant et triste à la fois. De quoi passer un bon moment en famille ou avec sa chérie dans une obscure salle de cinéma. Par contre, si on est un temps soit peu exigent sur un film, on découvre que ce n’est qu’une simple comédie sentimentale comme il en tombe si souvent. On nous sort un couple amoureux, un chien qui fait des conneries à n’en plus finir, le meilleur ami tombeur de ces dames, des enfants en pagailles et un flot de tristesse pour conclure en beauté. Marley & Moi est donc un grand mélange de ce qui ce fait de mieux dans le genre et affiché à l’écran dans une histoire qui manque un peu de rythme et de punch. Mais bon, comme je le disais au début, il faut savoir voir ce genre de film et si on se le regarde pénard sans vouloir autre choses que passer le temps, Marley & Moi remplit son rôle haut la main.