Raconter une histoire en peu de mots ?
Il y avait déjà Twitter (140 signes maxi). Déjà un effort certain de
concision à faire. Il y a aussi Adocu et là ça se corse : plus qu'un seul mot.
Peu importe le mot et le nombre de lettres que vous utilisez, pourvu que ce
soit vraiment un mot : c'est à dire sans utiliser la touche espace. Adocu a baptisé cette nouveauté le nano-blogging. Ici,
c'est un sacré challenge : l'histoire que vous voulez raconter doit être à la fois compacte et facile à comprendre par les auditeurs.
Mais avec de l'entraînement et en ciblant un auditoire sélectionné de manière suffisamment fine, cela devrait être possible.
Encore que, tout dépend de l'objectif... et de la place que vous entendez donner à l'auditoire dans la construction de l'histoire.
Une histoire tremplin, qui doit amener l'auditeur à faire un bond en avant, ou une histoire dans laquelle l'appropriation est importante et un haut niveau de précision
est inadéquat (c'est le cas par exemple des histoires dans lesquelles on essaie d'imaginer le futur) sont particulièrement adaptées à l'usage d'Adocu.
Un autre post sur les histoires courtes : Les plus grandes histoires peuvent être les plus courtes