Amy Winehouse s’est fait tatouer par Henry Hate, tout comme Pete Doherty ou Boy George. La presse britannique a cru utile de révéler que le tatoueur était séropositif et que cela pouvait être dangereux pour ses clients.
Selon certains, Amy Winehouse, mais aussi Pete Doherty auraient mis leurs vies en danger autrement qu’en consommant de la drogue. Leur tatoueur, Henry Hate, est atteint par le VIH depuis environ 6 ans. Et ce dernier n'en avait pas prévenu ses clients, ce que certains médias condamnent.
Le tatoueur répond aujourd'hui à ces accusations fallacieuses. « Je suis un professionnel, je connais les risques. Je prends donc toutes les précautions nécessaires. Je ne pense pas que je devrais le crier sur les toits. C’est quelque chose de personnel », explique Henry Hate.
Et jusqu’à preuve du contraire, le tatoueur n’a jamais contaminé un de ses clients, qu'il soit célèbre ou anonyme. Et ce, même s’il utilise des aiguilles (à usage unique) pour ses tatouages. Henry Hate veille à toujours porter des gants pour protéger ses clients. Par ailleurs, il a aussi confié que les plus fidèles d’entre eux étaient au courant de son état de santé, ce qui ne les empêchait pas de revenir à sa boutique.