Les trésoriers italiens, dont celui de Telecom Italia, militent pour la création d'un SEDA (c’est-à-dire SEPA Compliant Electronic Database Alignment) permettant l'échange entre la banque du créancier et celle du débiteur du mandat du SDD pour en controler la validité. Cette exigence est argumentée par les délais de rejet (jusqu'à 1 an d'après la PSD), qui sinon limiteraient les possibilités de titrisation des créances.
Les trésoriers italiens relancent le débat sur la gestion du mandat de prélèvement SEPA
http://www.bfinance.fr/content/view/10765/1000011/