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Publique Orateur : 7 choses à ne pas faire

Publié le 23 octobre 2008 par Oliviernda

Je leur ai commandé une tasse de « café conseil », mais je n’ai pas pensé qu’à moi j’en ai commandée pour vous aussi. A la votre !
Très peu de qualités autre que leur habilité de parler en public donnent une impression très précise de la valeur d'un dirigeant. L’ascension d’un dirigeant est très souvent accompagnée d’une croissante demande lui étant adressée de s’exprimer en public. Ironiquement, très peux de dirigeant ont la chance de recevoir une formation leur permettant de développer leur aptitude à parler publiquement. Certain chanceux on un talent naturelle leur permettant de communiquer effectivement mais la majorité doit travailler pour affiner leur habilité à parler en publique ou souffrir de leur insuffisance dans se domaine.
La question est donc de savoir pourquoi des dirigeants de tous nivaux échouent si souvent malgré leur désire d’exceller dans ce domaine. Communiquer des pensées et des émotions avec succès nous demande de maitriser certaines techniques.
La prise de parole en public, comme n'importe quelle compétence, doit être développée. Plus souvent vous parlez, meilleur vous devenez. Plus vite vous apprenez de vos erreurs et écarté les potentielles sources de désastre, le plus vite vous améliorerez vos capacités communicatives.
Voici les sept raisons central pour lesquelles la majorité des dirigeants échouent dans leur présentation :
1. Non respect du temps imparti
Parler au delà du temps imparti est peut être la manière la plus facile de s’aliéner une assemblée. Étrangement, ceci semble épidémique parmi les dirigeants. Parler excessivement sans égard pour le temps octroyé est grossier et démontre une certaine arrogance et une certaine autosuffisance. Cela suggère à l’audience que l’orateur croit son plaidoyer plus important que le temps que lui accorde son audience à l’écouter. La longueur d'un discours n’as pas fonction à démontrer une puissance ou une quelconque importance. L’orateur doit juste respecter le temps qui lui a été attribué et qu’il a accepté. Commencez à l'heure et arrêtez à l'heure, l’assistance vous respecteras pour cela, mais plus encore vous démontrerez un respect pour votre audience.
2. objectif peu clair
Les questions sont : Quel est le point ? Quel message je veux faire passer ?
Un grand nombre d’orateur donne des discours sans substance ou clair objectif. Certain essaie de dire le maximum dans le minimum de temps possible. Si vous n’avez pas une idée claire de ce que vous voulez dire ou n’avez pas identifié de manière concis l’objectif de votre exposer, vous ne devrez probablement pas faire de présentation. Concevez votre discours en vous demandant: « que voudrais-je que les auditeurs pensent, se sentent et fassent? » Les bons présentateurs parlent à la tête, au cœur et aux mains.
3. Préparation insatisfaisante
Les meilleurs orateurs sont des « névrosés » dans leur préparation. Même si leur comportement suggère le contraire, Les brillant orateurs qui parle en jetant à peine un coup d’œil sur leur notes ont probablement passées des heures à se préparer afin d’apparaître naturelle. Il n’y a pas d’excuse à un manque de préparation. Chaque discours est une transaction, vos auditeurs vous prêtent leur attention et vous leur devez en retour une présentation de qualité.
4. Manque d’habilité a captivé l’attention.
La ressource la plus rare au monde était le temps ; aujourd'hui c'est l’attention.
De nos jours l'assistant moyen est bombardé de toutes sortes de messages. De l' « email » à la radio, de la télévision aux téléphones portables, tout le monde essaye de nous dire que quelque chose, et votre tentative de donner un discours est juste un bombardement de plus. Le contenu et la livraison de votre discours doit attirer l’attention de l’audience immédiatement. Vous n'avez pas le luxe de « réchauffer » votre assistance. Frappez-les entre les yeux avec quelque chose qui détourne leur attention de tous les autres « stimuli » réclamant à leur attention. Donnez des remarques appropriées. Les auditeurs sont moins intéressés par les questions du genre « est-ce vrai ? » ; mais plus intéressé par les questions du genre « comment cela ou ceci m'affecte ? ». Vous devez être intellectuellement honnête en démontrant vos points de vue, mais n'oubliez jamais de démontrer que votre message est important pour l’auditeur.
5. Ne chercher pas a impressionné
Les orateurs egocentriques sont plus concernés par ce que leurs audiences pensent d’eux que par ce que leur audience fait à cause de leur discours. Plutôt qu’'influencer leurs auditeurs, les orateurs pompeux essayent d'impressionner leur assistance. Ils manipulent mais n’inspirent pas.
Ils discourent pour satisfaire leur égocentrisme mais pas pour satisfaire le besoin d’information de leur audience.
Malheureusement l’assistance se rend vite comptes des erreurs d’un communicateur pompeux et se désintéressent très vite de celui ou celle qu’elle trouve arrogant.
6. l'Ennui
Cette génération a grandi regardant des musiques vidéo qui ont des contenus de 150 images par minute. Pour eux, écouter un orateur est moins stimulant que regarder un écran d'ordinateur blanc. Un orateur qui amuse sont audience fais déjà une bonne chose. Le divertissement par lui-même ne remplis la fonction du discours mais permet a l’audience de ne pas s’ennuyer et donc avaler plus facilement le contenu du discours. Une des meilleures manières d'instruire est de glisser de bonnes idées sur les ailes du divertissement. L’« habillement »d’un discours est aussi important que son contenu.
7. les mauvaise Fins
Un scenario courant. L’orateur annonce son intention de conclure, et raconte une histoire amusante. L'assistance répond favorablement, et l'orateur prend la grosse tête et se dit, « ils ont aimé ». Il décide d’enchainer histoire après histoires jusqu'à ce qu'aucune réponse positive ne vienne de l'audience, mais plutôt des signes évidents de dégoût. A ce stade il est trop tard pour récupérer. Ayez des conclusions concises et précises. Les mauvaise fin affaiblissent l’impact du message. Une règle simple à se rappeler : les bonnes fins se produisent seulement une fois.


Pour conclure :
Vous pouvez développer vos présentations en vous posant ces 7 questions :
1. Est-ce que je me suis en tenu à mon temps imparti ?
2. Est-ce que j’ai développé et présenté avec un objectif clair
3. Est-ce que j’étais préparé ?
4. Est-ce que j'ai attiré l'attention de l’audience des le début ?
5. Est-ce que j’ai positivement influencé mon audience ?
6. Est-ce que j’étais amusant ou au moins pas ennuyeux ?
7. Est-ce que j'ai fini en une fois ?

Une réponse affirmative à chacune des questions vous aideras pour votre prochaine présentation.
Par Olivier N’da

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