Beau fixe sur l'énergie solaire, en dépit d'un passage nuageux. Semaine après semaine, les industriels de la filière photovoltaïque annoncent de nouveaux investissements, chiffrés en centaines de millions, quand ce n'est pas en milliards de dollars. La France, longtemps à la traîne, ne joue plus les figurants. Total et GDF-Suez viennent d'annoncer un projet d'investissement de 70 millions d'euros dans une unité de fabrication de plaquettes de silicium, dans la région de Carling (Moselle), avec une centaine d'emplois à la clé. EDF Energies nouvelles a mis en service, à Narbonne (Aude), la plus grosse unité française, de 7 mégawatts (MW). Reste que le photovoltaïque ne représente encore qu'une goutte d'eau - moins de 1 % - de la production d'électricité mondiale. Pour décoller, cette énergie devra réduire de façon drastique ses coûts, aujourd'hui de deux à cinq fois supérieurs à ceux des filières traditionnelles (centrales au gaz, au fuel ou au charbon, nucléaire...).
Bonne nouvelle pour l'écologie. Le solaire est enfin pris en compte et pris au sérieux !
Beau fixe sur l'énergie solaire, en dépit d'un passage nuageux. Semaine après semaine, les industriels de la filière photovoltaïque annoncent de nouveaux investissements, chiffrés en centaines de millions, quand ce n'est pas en milliards de dollars. La France, longtemps à la traîne, ne joue plus les figurants. Total et GDF-Suez viennent d'annoncer un projet d'investissement de 70 millions d'euros dans une unité de fabrication de plaquettes de silicium, dans la région de Carling (Moselle), avec une centaine d'emplois à la clé. EDF Energies nouvelles a mis en service, à Narbonne (Aude), la plus grosse unité française, de 7 mégawatts (MW). Reste que le photovoltaïque ne représente encore qu'une goutte d'eau - moins de 1 % - de la production d'électricité mondiale. Pour décoller, cette énergie devra réduire de façon drastique ses coûts, aujourd'hui de deux à cinq fois supérieurs à ceux des filières traditionnelles (centrales au gaz, au fuel ou au charbon, nucléaire...).
Chercheurs et ingénieurs développent des cellules plus économes en silicium et s'efforcent d'améliorer le rendement des capteurs qui, aujourd'hui, ne restituent qu'environ 15 % de l'énergie solaire reçue. Selon diverses études, la parité des prix entre les différentes sources d'électricité pourrait être atteinte entre 2020 et 2030. Le solaire photovoltaïque deviendrait alors, sans aucune aide, parfaitement concurrentiel.
Beau fixe sur l'énergie solaire, en dépit d'un passage nuageux. Semaine après semaine, les industriels de la filière photovoltaïque annoncent de nouveaux investissements, chiffrés en centaines de millions, quand ce n'est pas en milliards de dollars. La France, longtemps à la traîne, ne joue plus les figurants. Total et GDF-Suez viennent d'annoncer un projet d'investissement de 70 millions d'euros dans une unité de fabrication de plaquettes de silicium, dans la région de Carling (Moselle), avec une centaine d'emplois à la clé. EDF Energies nouvelles a mis en service, à Narbonne (Aude), la plus grosse unité française, de 7 mégawatts (MW). Reste que le photovoltaïque ne représente encore qu'une goutte d'eau - moins de 1 % - de la production d'électricité mondiale. Pour décoller, cette énergie devra réduire de façon drastique ses coûts, aujourd'hui de deux à cinq fois supérieurs à ceux des filières traditionnelles (centrales au gaz, au fuel ou au charbon, nucléaire...).