Même pas peur

Publié le 19 mars 2009 par Amyrtille

Voilà, je suis un peu une guedin de la geekerie, comme ça sur un coup de tête, après plusieurs mois sans avoir fait de mise à jour de la version WordPress de mon blog, je me lance tête baissée sans plus de préparation et d’information que ça :

J’ai migré de WP 2.5.1 (la honte !) vers WP 2.7.1 en un claquement de doigt (je crois que j’ai eu beaucoup beaucoup de chance !!!). Non rien a bugué, ça m’a pris 5 minutes … Et je me demande vraiment pourquoi est-ce que je ne l’ai pas fait plus tôt ???

Explications :
Attention !!! Je tiens à préciser que j’ai un peu fait ça à l’arrache (NON je n’ai pas désactivé mes plugins et widgets avant la maj) (NON je ne suis pas fière) (Mais tout c’est bien passé et j’ai gagné un temps fou !) …

Je vous conseille d’utiliser le plugin “maintenance mode” afin que vos lecteurs ne se retrouvent pas dépourvu une fois la bise venue.

Petit UN
Sauvegarder TOUT le contenu de son blog …
- Tout le répertoire qui se trouve sur votre FTP
- Toute la base de données (Moi je l’ai fait de 2 manières différentes pour plus de sécurité : Depuis PhpMyAdmin (Choisir la base à sauvegarder puis faire “Exporter” sans changer les paramètres par défaut, un fichier.sql se créé alors sur votre disque dur) et aussi depuis l’admin de WP (Outils “Exporter” un fichier XML)

Petit DEUX
Télécharger la dernière version Française de WP

Petit TROIS
Écraser tous les fichiers et répertoires sur votre FTP avec la nouvelle version de WP SAUF le répertoire wp-content qu’on laisse indemne (faites bien attention à ça !). Ensuite écrasez les 2 fichiers de langues dans “wp-content > languages” avec les nouveaux contenus de la nouvelle version de WP.

Petit QUATRE
Rdv sur la page http://monblog.com/wp-admin/upgrade.php pour mettre à jour votre base de données …

Félicitations !!! (Enfin j’espère pour vous)

La prochaine mise à jour sera plus simple, puisqu’elle se fera directement via l’interface de l’admin de WP comme l’installation des plugins … ça c’est vraiment génial !

Punaise mais qu’est-ce que j’attendais, hein ?