Chercheur indépendant, il affirme que les six nouvelles pièces sont véritablement, certes, des morceaux de jeunesse, mais effectivement des livres qui n'avaient pas jusqu'à lors été attribués à Shakespeare. Ce dernier aurait en effet écrit sous couvert d'un pseudonyme, Phaeton, que l'on retrouve dans un sonnet qui serait alors le plus ancien texte existant.
Un autre monument aurait été créé près de 10 ans avant Henri IV. Les oeuvres en questions s'intitulent : Mucedorus, une première comédie, ainsi que Locrine et Arden of Faversham, deux tragédies. On ajoutera le sonnet signé Paheton, ainsi que deux textes Thomas of Woodstock et A Yorkshire Tragedy, qui étaient jusqu'à présent anonymes et seraient donc authentifiés comme écrits par l'auteur.
Certes, tout ce travail ne modifiera pas profondément l'approche que l'on peut avoir de Shakespeare et l'on considérera avec raison que cette annonce ressemble plutôt à des querelles d'universitaires. De même, ces textes n'apporteront pas un regard révolutionnaire sur l'homme ni des informations jusqu'à lors inconnues.
Après la découverte d'un tableau qui représenterait le dramaturge, récemment dévoilé au public, le mois de mars est définitivement une période shakespearienne.