Or donc, ce dernier week-end, les 06 et 07 mars 2009 (je sais bien que vous vous en fichez, des dates, mais je mets ça pour les moteurs de recherches…) le Musée exposait quelques pièces dans le cadre d'une petite exposition de l'Office du tourisme du Balcon du Jura qui s'est tenue au Restoroute de Bavois (autoroute A1 chaussée Jura, entre Yverdon-les-Bains et Lausanne). Heureuse coïncidence, les pièces du Musée se trouvait à côté de la vitrine de mon fournisseur attitré de graisse à manivelle…
Fournisseurs attitrés de graisse à manivelle du Père CA
Graisse à manivelle préférée du Père CA...
A L'Auberson, y'a pas que le Musée... Y'a aussi un hiver, et il dure très longtemps...La Patronne du Musée, Arlette Baud, avec MON orgue de barbarie… C'est bien parce que c'est elle qui commande que je ne dirai rien… Mais bon, pas trop souvent quand même, Arlette !! Tu ne sais pas trop où il faut la mettre, la graisse à manivelle…
Bon, revenons tout de même au sujet qui fait le titre de ce billet : la petite cycliste… C'est un automate de gare fabriqué à Sainte-Croix vers 1890. Le cylindre joue 8 airs différents (1 air différent par rapport au précédent par déplacement automatique du cylindre à chaque enclenchement). Le tout est actionné par un ressort que l'on remonte sur le côté gauche de la boîte au moyen d'une manivelle. On devait y insérer une pièce (10 ou 20 centimes) pour la faire jouer. L'air que vous entendrez au début s'appelle "Les cloches de Corneville", opérette de Robert Planquette.
Répertoire des airs sur le cylindre…
Et maintenant, place à la vidéo...