17.3.09
J’aime les gens, je bois ces instants de connivences, où les rires se brisent sur les murs, et les mots s’emmêlent et se démêlent. Se vide les bouteilles, et s’entasse les mégots, comme court le temps qui fil entre les musiques de nos requiem…
Et toi coincée dans mon regard pour me perdre dans un prisme à cœur ouvert… A corps perdu, je vie d’une envie d’être meilleurs même si je ne sais pas toujours ce que je fais, ni pourquoi, comment…
Je clapote les touches sales de mon clavier, tu dors, moi, je ne parviens pas à trouver la paix du sommeil, alors je t’épie et puis je clapote ses quelques mots murmurés par la nuit.