Le père nicaraguayen Miguel d'Escoto loue la sagesse de l'Iran et regrette les décisions de la Cour Pénale Internationale, un peu trop enclin à ne s'attaquer qu'à des
dictateurs bronzés (on ne peut pas lui donner tort, ni dans la volonté de ne pas diaboliser l'Iran, ni dans son souci de ne pas "faire un exemple" avec Omar El-Bechir. Meme la CPI a l'air de
patauger).
Il n'est certes pas pape mais préside en ce moment l'Assemblée générale des Nations Unies.
Les USA ne sont pas prêts d'envoyer leurs paiements en retard à l'ONU.
Source : New York Times