Zoé Avril, un univers musical que j’adore, Part 2 : On ne changera pas le monde

Publié le 18 mars 2009 par Kidxo41

Je continue à vous faire découvrir cette semaine des chansons de Zoé Avril. Elle a un univers que j’adore vraiment. Une très bonne musique et des textes géniaux…

Aujourd’hui’hui, la chanson que je vous présente est la plus connue de son album. Elle s’intitule “On ne changera pas le monde”. Tout au long de sa chanson, elle décrit de manière simple mais vraie les gens qui nous entourent dans notre quotidien et qui nous exaspèrent mais aussi ces petits moments de la vie que l’on aimerait voir différents mais ils sont comme çà et on doit simplement apprendre à vivre avec, parce-qu’on ne changera pas le monde tout simplement…

Découvrez le clip de Zoé Avril - On ne changera pas le monde :

http://www.dailymotion.com/videox4y4tg

Retrouvez les paroles de Zoé Avril - On ne changera pas le monde :

On ne changera pas le monde, Maman
Et on ne changera pas les gens
On ne changera pas le monde, Maman
Ça ne passera pas avec le temps

Le Paris-Nantes me passionne
Autant que mon voisin de voyage
Qui parle très fort au téléphone
Et qui étale tous ses bagages
Il a toujours un modèle has been
Et il prend de haut le contrôleur
Et, avec ses blagues, il bassine
La moitié du wagon fumeur

{Refrain:}
On ne changera pas le monde, Maman
On ne changera pas les gens
On ne changera pas le monde, Maman
Faut vivre avec, tout simplement
On ne changera pas le monde, Maman
On ne changera pas les gens
On ne changera pas le monde, Maman
Ça ne passera pas avec le temps

En fin de semaine, j’ai peur des vieux
Et de leurs horribles petites manies
De se trimballer deux par deux
Comme par hasard dans mon Franprix,
Si par malheur j’arrive en caisse
Avec un chariot trop plein
Ils prônent un pseudo droit d’aînesse
Et me passent devant avec dédain

{au Refrain}

Et au volant de ma petite 106
Moi, je ne demande rien à personne
Si ce n’est de ne pas me pousser au vice
En me collant au cul à coups de klaxon
Si par malheur, à un feu rouge
On me fait des appels de phare,
Je hurle, je crie, je deviens toute rouge
Et puis j’invente des mots barbares

{au Refrain, x2}

Et, à ma liste de doléances,
J’ajoute que je deviens farouche
Lorsqu’on commet l’imprudence
De parler à deux doigts de ma bouche,
Qui t’autorise, petit vandale,
A t’approcher si près de moi,
A violer mon espace vital,
A faire comme si t’étais chez toi ?