A la 4čme séance de négociation sur la retraite complémentaire (Arrco-Agirc) l’attitude du Medef ne fait que se durcir, dévoilant ses véritables intentions.
Le texte remis sur table, contrairement ŕ ce qui avait été annoncé est loin d’ętre équilibré : aucune proposition des organisations syndicales n’est retenue.
Le Medef instrumentalise la crise pour imposer de nouvelles mesures de régression aux salariés :
L’ensemble des organisations syndicales a rejeté ce texte. Devant cette détermination le Medef se trouve dans l’obligation de présenter un nouveau projet de texte pour la suite de la négociation. Son contenu sera largement conditionné au niveau de la mobilisation des salariés le 19 mars sur l’emploi, les salaires et la protection sociale.