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Le rêve et ses colères prennent le mur à pleines mains, le marcheur regarde mais le mur l'épie et cherche à comprendre ce qu'il a voulu dire par une grimace, un hochement de tête, un sourire...La parole qui s'exhibe n'a pas froid aux yeux, elle fait sa vie en plein air juste le temps qui passe ses lettres de pluie et de soleil conjugués. Quand les maux s'affichent le mur s'oublie à l'horizon et la pensée donne tout son sens au vivre majuscule et debout.