"Touche pas à ma Picardie" : Cher(e)s internautes

Cher(e)s internautes,

 

Conformément à sa promesse, Claude Gewerc, Président du Conseil régional de Picardie, a organisé le vendredi 13 mars, au sein de l’Assemblée régionale, un débat sur le projet de réformes des collectivités territoriales proposé par le « Comité Balladur ».

 

A l’issue de ce débat, Claude Gewerc a proposé à l’Assemblée régionale d’adopter une motion « Touche pas à ma Picardie » réaffirmant notre attachement à la Picardie et refusant son démantèlement.

 

Les élus du groupe socialiste, du groupe communiste et progressiste et du groupe Verts-PRG ont voté cette motion.

 

Sous des prétextes divers, le groupe U.M.P présidé par Madame Cayeux, le groupe Front National et celui de Monsieur Grémetz ont refusé de voter ce vœu qui a cependant été adopté par la majorité…..

 

Chacun appréciera !

 

Dans ces conditions, le collectif « Touche pas à ma Picardie » demande au Président du Conseil régional, Claude Gewerc et aux Présidents des Conseils généraux de l’Aisne, de l’Oise et de la Somme, Yves Daudigny, Yves Rome et Christian Manable, de se faire les porte-parole des Picardes et des Picards qui refusent la disparition de leur région et de remettre solennellement au Président de la République les 75.000 premières signatures de la pétition « Touche pas à ma Picardie ! ».

 

En attendant, il est indispensable de poursuivre notre mobilisation et de faire signer la pétition à celles et ceux qui ne l’ont pas encore fait sur le site :

Si vous souhaitez obtenir de nouvelles informations sur la campagne « Touche pas à ma Picardie », n’hésitez pas à retourner régulièrement sur notre site qui, au fil de l’actualité, s’enrichit chaque jour de nouvelles rubriques.

 www.touchepasamapicardie.fr


Le collectif « Touche pas à ma Picardie ! »




La motion « Touche pas à ma Picardie » adoptée par la majorité du Conseil régional de Picardie lors de sa séance du vendredi 13 mars.


Intervention de Philippe Massein, Président du groupe socialiste et membre du collectif « Touche pas à ma Picardie » lors de la séance du vendredi 13 mars.

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