Il annonça donc pour le plan de relance automobile des contreparties comme l'engagement des constructeurs de ne pas délocaliser et de relocaliser, de ne pas fermer d'usine en France et de pas faire de licenciements, ce qui avit été vivement critqué par les autres pays européens.
Mais le Canard Enchaîné du 11 mars 2009 N°4611, révéle s'être procurer une note censée demeurer secrète le "draft un document de travail de Bercy à la commission européenne qui dément les promesses de Sarkozy.
Sarkozy dit vouloir rassurer les français de l'implication de l'Etat mais en faite il ment encore une fois, pour éviter un débordement du peuple français.
Extrait de la note:
"les engagements pris par les deux constructeurs bénéficiaires du plan automobile, répondent à une obligation de rendre compte, sans pour autant constituer de clause opposable, au sens contractuel du terme".
Autrement dit, il n'y a aucune obligation, PSA et Renault peuvent empocher la manne de l'Etat et ne pas respecter les contreparties.
D'ailleurs, ces fameuses et sarkozyennes contreparties nexistent pas. Il n'est ainsi plus questions d'un arrêt des délocalisations et encore moins de relocalisations. Les auteurs de cette fameuse note écrivent ainsi: "les engagements de maintien d'activité en France sont sans incidence sur les stratégies d'implantation de production."
Quant à l'interdiction faite aux constructeurs de licencier, le texte de Bercy corrige, là encore, les rodomontades de Sarko: "l'engagement de tout mettre en oeuvre pour préserver l'emploi et les compétences est une forme de reconnaissance de leurs responsabilités mais ne définit qu'un obligation de moyens et non de résultats."
Et si cela n'était pas suffisamment clair, la note précise: "l'absence de mise en oeuvre d'un plan social en 2009 n'exclut pas des ajustements d'effectifs, sous la forme, notamment, de départs volontaires." Donc, c'est promis, on ne licencie pas, on pousse avec entrain vers la sortie.