On a plongé vers le lit
de la liberté
sur l’ile sauvage nos cheveux emmêlés
pour te revoir encore une fois j’irai mourir
devant l’autre qui lui porte ta main
Si j’ai changé ?
non et pourtant ce n’est que moi qui peine là
l’autre idée de l’amour que tu ne connaitras jamais
je me rappelle de ton soleil maintenant que ses rayons portent seulement la mort
tout est déguisé en toi peut-être par souffrance mais rien n’est plus vrai
On a planché sur toutes les aubes et les chemins qui menaient à la liberté
on a pleuré on a vomi comme cette nuit
et on ne dansera que demain que demain mais non pas dans la nuit
espérant sourire au moins un instant et d’autres choses que d’envie.
ps: si je suis toujours le même ? non. Pour de multiples raisons qui portent autant d’amertume que certains raisins
et donc ce texte que je fais suivre à ces mots et que tu m’adresses maladroitement n’a aucune portée, ah si, aucune autre portée que ce texte si dessus.
Entre nous quand tu écris des choses comme ça tu t’écartes de ce qui fait ta force.
“
Dis, combien de "mi amor"
à combien de femmes mens-tu encore?
Combien sont-elles celles qui te croient,
faux romantique mais vrai goujat.
Puisque ton amour n’est pas leurs bras,
puisque la seule que tu aimes jamais tu ne l’auras.
Que sont-elles toutes celles qui t’ont cru
celles qui te croient?
Pis-aller et femmes par défaut.
Et tu t’étonnes des coups…
M’ame C.
“