François Fillon, contrairement à son secrétaire d'état à l'emploi Laurent Wauquiez, ne blâme pas le groupe pétrolier Total qui après avoir annoncé 14 milliards de bénéfices a fait part de sa décision d'un plan de supression de 555 postes.
Le premier ministre François Fillon déclare ne pas faire «partie de ceux qui se livrent au sport national qui consiste à dénigrer une des plus belles entreprises françaises, une de celles qui investit le plus, une de celles qui crée le plus d’emplois et une de celles qui rapportent le plus de richesses à la France».
Source : liberation.fr