Magazine Cinéma
Synopsis :
L'officier de la CIA Claire Stenwick et l'agent des services secrets britanniques Ray Koval ont quitté leurs fonctions gouvernementales pour le monde bien plus lucratif des affaires où une véritable guerre froide sévit entre deux multinationales. Leur mission ? Obtenir le premier la formule d'un produit qui rapportera une fortune à son entreprise mère.
Pour leurs employeurs - le titan des affaires Howard Tully et l'arrogant chef d'entreprise Dick Garsik - rien n'est hors limite. À mesure que les enjeux s'élèvent, que le mystère s'épaissit et que les coups deviennent de plus en plus sournois, le secret le plus complexe à élucider s'avère être l'attraction grandissante que Claire et Ray ressentent l'un pour l'autre. Alors qu'ils essaient de toujours garder une longueur d'avance, ces deux carriéristes solitaires trouvent leurs plans compromis par la seule donnée qu'ils ne parviennent pas à contrôler : l'amour.
Grosse infrastructure, tapis bleu (histoire de varier les plaisirs), journalistes presse et TV équipés et prêts à faire feu (de leurs caméras), pas de doute, nous sommes bien à une avant-première. Et pas n'importe laquelle puisqu'outre le fait qu'il s'agisse du film Duplicity, c'est bien la présence de la désormais rare Pretty Woman, Julia Roberts, qui attisait toute les convoitises hier soir sur la plus belle avenue du monde.
Fans de la belle, amateurs de cinéma, chasseurs d'autographes ou simple passants curieux, voilà la composition de la petite (mais rapidement importante) foule amassée devant les lumières du Gaumont Marignan.
Julia Roberts
Clive Owen & Julia Roberts
Placé juste en face de l'entrée du cinéma, je savoure (à tort) mon emplacement.
19h30, pile à l'heure, Julia Roberts fait son apparitionnnnnnnnnnnnnnnnnn. Ah, bon, ok, elle est déjà rentrée, pas un regard, pas une photo, descente de la voiture et zou...
L'excitation du public n'a même pas eu le temps de monter que la star avait déjà disparu. Après quelques minutes d'interrogation générale, une seconde voiture s'approche du trottoir avec à son bord, Mr Clive Owen....Mince quoi, Clive Owen, le Roi Arthur en personne !
Sans perdre une seconde, Julia Roberts revient comme par enchantement pour les coucous habituels devant les caméra et photographes. Prenant le temps (mais pas trop) de poser et signer quelques photos (dont la mienne, wouhou), les acteurs s'avancent rapidement vers le photocall où la horde de parazzis ne peut s'empêcher de leur hurler dessus avec un anglais de bucheron, alors que ces derniers ne sont pas à 1m...sans commentaire, je crois que cela me fera définitivement rire. Bref.
Julia Roberts (dédicaçant ma photo préparée pour l'occasion )
L'excitation retombe, la foule, rassasiée (ou pas) quitte les lieux. Seulement voilà, caméramans et journalistes restent en position...signe avant coureur ? Probablement, la sortie se fera donc par le devant du cinéma et non pas la porte dérobée de derrière les fagots pour feinter les fans hystériques.
J'en profite pour sympathiser avec mes collègues de barrière d'un soir dont l'une s'avère être la webmaster de http://www.watson-daily.com. Je devrais de fait récupérer quelques nouvelles photos de la soirée sous peu.
Quelques 20 minutes plus tard, les talkie walkie des agents de sécurité se remettent à grésiller, attention, reprise de l'agitation ! Cris, pleurs et tout et tout.
D'abord Julia, pressée de rejoindre la banquette arrière de la Mercedes, puis Clive qui s'est livré à une série de dédicaces sur le chemin du retour, manque de bol, j'étais du coté opposé. Fichtre.
Julia Roberts
Julia Roberts
Ainsi se termine cette petite soirée de groopie, toujours plaisant pour y croiser quelques grands noms du cinéma Hollywoodien et accessoirement, des acteurs(trices) que j'estime énormément.
Comme le dit Simple Jack (cf : Tonnerre sous les tropiques), ça fait ben ben plaisir !
Hell yeah
Les autres photos sont disponibles sur l'album du blog (bien qu'elles ne soient pas extras, la faute à un mauvais choix d'emplacement...snif)
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