Le nombre treize. « Le paysan a peur du nombre treize, et bien des citadins sont paysans sur ce point, observe Jules Lecoeur, dans Esquisses du bocage normand. Si par hasard, treize personnes se mettent à table, on se regarde avec inquiétude… Treize ! Aussitôt on se met en quête du quatorzième convive. N’en peut-on trouver un ? Il faudra qu’un des enfants se résigne à dîner à part [...], pour conjurer le sort attaché au nombre malheureux. »
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Source : Ouest-France