Le lendemain, le tribunal de commerce de Paris accueillera toute la famille pour s'assurer de la validité des pièces concernant la cession des parts d'Albert Uderzo au groupe Hachette, que conteste évidemment Sylvie Uderzo. Rappelons à ce titre, que ce dernier a vendu 40 % qu'il possédait, et que Hachette s'est procuré 20 % auprès d'Anne Goscinny détentrice des droits. Sylvie Uderzo se trouve alors minoritaire avec 40 % restants.
Dernière journée de ce marathon, le jeudi, où le tribunal de commerce de Nanterre cette fois devra procéder à l'examen d'une affaire opposant Bernard Boyer de Choisy, mari de Sylvie, et anciennement responsable de la communication à Albert-René. Cette fois c'est contre sa société BB2C que les éditions devront se défendre...
Depuis le vllage des irréductibles gaulois, notre envoyé spécial nous rapporte que l'on se demande si laisser gagner les Romains n'aurait pas épargné bien des misères... Même le druide Assurancetourix se serait frotté la barde trois fois en faisant : "Humm... Humm..."