Dos au Mississipi, on se découvre presque au XIXe siècle, à attendre la calèche d'Autant en emporte le vent.
Et juste au moment où l'on commence à se dire que la musique a fui la ville, deux trois notes aigrelettes s'aventurent à nos oreilles, des mains qui claquent en rythme, le jazz qui surgit de nulle part, au milieu d'une petite place devant la cathédrale.
La Nouvelle-Orléans n'est pas morte : le jazz y bouge…