Il est des tentations bien légitimes. Au rang desquelles l’on éleve parfois celle de rendre la parole libre, libre comme l’air, allégée de ce point inique - d’origine technocratique - que constitue la loi.
Oh bien sûr l’on pourrait se gausser et rétorquer que s’il l’on souhaite insulter tout son soûl une baltringue d’intervenant médiatique, autant y aller franco.
Sur le fondement de la Loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse (dans sa version consolidée au 19 novembre 2008) articles 29 et 33, a combien peut-on évaluer l’amende susceptible de recevoir notre bon ami criticus pour ses doux mots sur un site d’accès public, sous la bienveillance du modérateur dudit site, à l’endroit de Dominique Wolton ?
Je demande,je ne juge pas, ça n’engage à rien hein….
Ou alors c’est une bonne blague, et alors qu’est ce que c’est fendard !!!