La liberté d’expression est, et doit être un principe majeur d’une démocratie. Pour son maintien et pour son évolution. Mais, par moment, à lire ou entendre certains de ses prêcheurs, je remets tout en cause !
Je reviendrai une autre fois sur quelques maladresses d’autres personnes, et quelques injustices faites à d’autres. Mais aujourd’hui, je consacre ce billet à un journaliste de premier plan, qui travaille pour une chaine publique, et écrit pour un hebdo. Ce monsieur se nomme Eric Zemmour. On le voit à la TV, très sérieux, bonne attitude, utilise des postures de grands penseurs, les invités sur le plateau tv l’écoutent. Jusque là, tout va bien dans le meilleur des mondes. Si on s’aventure à l’écouter, c’est tout autre chose. Il se retrouve à déblatérer une diarrhée verbale. Une première connerie (je parle des inacceptables) quand il reconnaît les différences entre les noirs et les blancs, en parlant de « race ». Or, des races, y en a 3 dans l’univers connues au jour d’aujourd’hui : l’Homme, faune, et flore. Quand il s’agit des êtres humains, on parle d’ethnies.
Le 10 janvier dernier, il écrit sur le Figaro magazine, que Rachida Dati quand elle nomme sa fille Zohra, elle importerait le conflit de Gaza. Ce qui me choque, c’est qu’Eric Zemmour a réfléchi avant d’écrire cela. Les gars, faut faire quelque chose pour aider ce monsieur. Mais surtout pour nous aider, car la liberté d’expression dans ce cas, est une arme blanche…