Contrairement à ce que l’on croit l’enjeu de cette Coupe du Monde ne se joue pas sur le terrain mais en coulisse. Si l’IRB est assurée de se goinfrer avec les droits télé et les recettes publicitaires, le comité français d’organisation n’a que la billetterie à se mettre sous la dent pour dégager des bénéfices. Et ce n’est pas gagné contrairement au discours officiel.
A Saint Denis par exemple le Président Bernard s’est découvert un redoutable concurrent en la personne du maire communiste Didier Paillard. A 501 mètres du Stade de France - parce que plus près il se trouvait dans l’espace vendu par les organisateurs - la ville de Saint Denis organise des animations dans son propre village baptisé "Rugbycolor" et pour lequel elle n’a payé aucun droit.
Découflé est chargé de mettre en scène une contre-cérémonie d’ouverture, 30 concerts gratuits sont annoncés, un écran géant est installé devant lequels 12 000 personnes pourront voir les matches. Et on y servira même de la bière qui est interdites dans les gradins du Stade de France au nom de la stricte application de la loi Evin. C’est Heineken le sponsor officiel qui peut faire la gueule. A moins qu’il soit aussi le Sponsor du village sauvage de Rugbycolor !
Et par dessus le marché, contrairement aux autres villes organisatrice un article du magazine Capital signale que la ville de Saint Denis sera la seule à toucher une "taxe sur les spectacles" générée par les matches au Stade de France. Soit une somme de 5 millions d’Euros qui finance le barnum du maire communiste de Saint Denis.
Les baisés comptez-vous !!!
Jeu de briques
Snake
Pacman
Bubble