Hier, dimanche, jour des croissants se tenait l’inestimable journée de la femme et comme chaque année, les esprits réchauffés se posent la question de l’utilité d’une telle journée.
Etant donné que le Vatican célèbre ce jour en citant la machine à laver comme « l’objet qui a le plus participé à l’émancipation des femmes occidentales au Xxè siècle », j’aurais tendance à penser que l’affaire n’est pas dans le sac et qu’une petite journée par ci par là ne peut pas nous faire de mal.
D’autres se demandent si la femme serait une espèce en voie de disparition pour avoir besoin d’une journée à sa célébration. On répondra à l’auteur de cette pensée profonde qu’en fait c’est tout le contraire, puisqu’on « range », dans certains pays, le surplus de bébés féminins dans des orphelinats 3 étoiles. Le nombre n’ayant jamais été notre problème, c’est bien de notre poids dont nous nous préoccupons en cette sainte journée
Chiennes de garde, working girl ou baby doll, on est toutes sur la même galère alors il y a intérêt que ces messieurs soient pleins compliments demain soir, où je sens que ça va sentir le soutif brûlé sur la 3D