(le test a été effectuer sur la démo Xbox360, la durée de vie est donc estimée et non pas réel, le test est quasi-définitif)
Si un titre se fait attendre, il est normal d'en attendre beaucoup (sans se répété) alors quand il s'agit d'une légende comme Resident Evil, la tension est a son comble, en tout 5 ans d'attente pour ce titre. Mais la légende tiens t-elle encore la route...Peut-être.
Joli couple
Les trailers diffuser sur le web ne permettre plus le doute, l'action se déroule en Afrique, on contrôle le musculeux Chris Redfield et Sheva Alomar est notre coéquipière. Sur les traces d'une infection toujours aussi joyeuses, le BSAA va enquêter sur les lieux, déjà première constatation, un petit clin-d"oeil a été glissé par rapport au premier Resident Evil. On peut comparer l'intervention des STARS dans le manoir à celle du BSAA en Afrique.
Dés les première minutes de contrôles de Chris ont a du mal a diriger le bougre, mais l'habitude vient en jouant et les mécanismes sont instinctif malgré la raideur du personnage. Le premier combat dans une petite maison donne le ton et renvoie a la scène barricades u 4, la coopération avec Sheva s'avère excellente. La petite jeunette se débrouille comme une chef, en opposition avec le véritable boulet qu'était Ashley dans le 4. Sheva ne nous laisse pas dans la mouises quand on a besoin d'elle. Les ennemis sont quand a eux des copiez-coller du 4, seul leur physique change mais leur bond lors d'impact reste toujours autant ridicule.
Léon ! mon frére !
Graphiquement le titre sans tire une fois de plus très bien, la série renoues avec des environnement sale et glauques, les éclairages sont beaux, les effets d'explosions n'ont rien a envier au autre ponte du genre. Au niveau des animation, les personnages s'en tire très bien, aucun bugs détecté dans cette version Démo mais vous allez me dirent, Il est parfait ? et bien non pas en tout point on regrettera le fait de ne pas pouvoir tirer en courant qui a pour le coup était remplacer par la possibilités de strafer(maigre consolation) l'imprécision lors des tirs, les commandes déroutantes et bien sur le sentiments que le jeu n'a pas évolué dans son gameplay depuis le numéro 4. Le principe est le même, certaines scènes sont repomper sur le 4, à croire que Capcom n'a plus d'idée et se prend les pieds dans le tapis.
Le bon point vient de la coopération entre Sheva et Chris qui est très agréable sans alourdir le jeu, la belle se gère toute seule et ne demande pas assistance tout le temps. On noteras également le retour dans la série d'Albert Wesker personnage emblématique de la série.
En conclusion, Resident Evil 5 s'annonce comme un blockbuster qui trouveras son public, mais n'échappera pas au comparaison avec le précédent opus et au nostalgiques amoureux de l'ancien système. D'ici au 13 mars, des améliorations semble utopiques, mais on peut tout de même s'attendre a un jeu plus que bon simplement par son nom et par son histoire en occultant les petits points noirs.
Editeur : Capcom
Développeur : Capcom
Sortie : 13 mars 2009
Type : Action
Graphismes : 17/20
Gameplay : 15/20Bande-son : 16/20
Durée de vie : ?!? (estimé a 10/12h)
15/20
Conclusion sur le jeu final :
(Cette conclusion arrive à la sortie du jeu)
Je ne dis qu'une chose : place au e, par ex.: le 20e">6ième épisode, ce e, par ex.: le 20e">5ième épisode enterre définitivement la saga et je pense qu'un retour à la ou de la devant les noms féminins.">au source, surtout sur le plan du sentiment de peur serait judicieux, on avait vu les
images d'un RE 3.5 dans un château et très lugubre : pourquoi pas. Notons qu'il a fallu seulement deux épisodes (le 4 et le 5) pour que la nouvelle tournure
s'essouffle, alors que la précédente a mis quasiment 5 épisodes à rendre l'âme, mais garder toujours au niveau des critiques des notes excellentes et les joueurs
bien que lassé était beaucoup moins à se plaindre. Le survival peut s'appliquer avec une vue reprenant celle du 4ième épisode tout en gardant un aspect angoissant, à se petit jeux Dead
Space a su le faire, sans pour autant sacrifier la peur à l'action.
Mikami avait sa conception du survival, Takeuchi en a une autre, mais pas un style qui restera dans les annales à mon avis, voir Resident relayer à coté d'une Gears of War fait peine à voir, Capcom s'assure au moins le ne + verbe + pas/jamais/rien/personne.">million sellers rien que pour la réalisation graphique et scénaristique.
Graphismes : 17/20
Gameplay : 15/20
Bande-son : 15/20
Durée de vie : 15/20
Note Finale = 15/20