Aujourd’hui plus qu’avant, l’architecture lumière est une marque de dynamisme, de modernité, un moyen de faire parler de sa ville. Ce travail sur l’image de la ville a bien sur des visées et des retombées économiques et touristiques. Mais quand on sait que par exemple une ville comme Montréal (moins de 2 millions d’habitants) possède une quantité totale d’énergie lumineuse perdue semblable à celle de New-york (environ 8 millions d’habitants), on comprend que la réduction de la pollution lumineuse soit une des priorités des concepteurs d’éclairage urbain. D’autant plus que les bénéfices liés à celle-ci sont tant d’ordre économique qu’environnemental.
Un acte social
Le concepteur lumière est donc de plus en plus soucieux de la pollution lumineuse causée notamment par les éclairages vers le haut ou vers l’horizon ainsi que des pertes énergétiques qui en résultent. Mal étudié l’éclairage urbain peut représenter pour une agglomération une perte d’énergie jusqu’à 3 fois supérieur à celui d’une ville de même taille mais mieux équipé. Aussi, à l’image de Caribou Concept les sociétés spécialisées dans la conception d’éclairages développent de plus en plus de solutions novatrices et de systèmes d’implantation lumière à faible consommation d’énergie dans un cadre de haute qualité environnementale. Cette nouvelle manière d’appréhender l’impact de la lumière urbaine participe désormais à un acte social.
Article rédigé par l’agence MKT, communication Internet, création de sites et référencement.