Le dirigisme, l’étatisme, le socialisme et il faut bien dire le sarkozysme, termes finalement équivalents, roulent de calamités en calamités ; lorsque surgit une calamité créée en général par les personnes au pouvoir, les mêmes en créent une autre tout aussitôt pour soi-disant corriger la première.
Ces temps-ci, c'est celle du chômage qui alarme à juste titre tout le monde : plus 90 200 chômeurs en janvier, soit 2 204 000 chômeurs en tout. Les chiffres s'accélèrent et Christine Lagarde annonce un emballement encore plus grand. C’est si rapide que les énarques n’ont pas le temps de bricoler les statistiques pour masquer le problème comme cela s’est si souvent fait dans le passé.
Pourtant les économistes, les vrais, connaissent parfaitement la cause de ce chômage et les remèdes à apporter.
Pour résumer, parmi les causes, il y a d'abord le poids absolument insupportable qui, sous forme d'impôts et de charges sociales, est imposé à l'économie et écrasent les entrepreneurs et les travailleurs de toutes sortes : tout se passe comme si les hommes de l’Etat se comportaient comme un renard libre dans un poulailler libre chassant ouvertement les entrepreneurs hors de France.
A l’intérieur de ce poids, se situe l’enrichissement personnel…