Preuve en est ce florilège que j’ai reçu dans ma boîte courriel (merci Claudine), aujourd’hui, jour de la Journée internationale des femmes.
Les bras m’en tombent, c’est sans commentaire. Un chose est sûre, si leurs mouvements fonctionnent aussi bien que les connexions neuronales de celui - cela ne peut pas être celle, tout de même ! - qui a concocté ces publicités, vous risquez bien de ne jamais être à l’heure avec une telle montre au poignet.
A vous de juger …