"Nous sommes obligés d'en tenir compte, ne serait-ce que pour éviter un buzz négatif sur le Web, souligne Anne Shapiro-Niel, présidente de l'Association des professionnels des relations presse et de la communication. La difficulté, c'est que les règles ne sont pas les mêmes qu'avec les journalistes. Par exemple, nous ne sommes pas assurés d'obtenir un droit de réponse en cas d'erreur."
Trois choses me font bondir dans cette phrase d'une personne qui représente sans doute le métier qui, parmi les différentes disciplines de la communication, devrait être le plus en phase avec les transformations actuelles des médias :