Je voulais faire un article sur les victoires de la musique et revenir sur les deux attribuées à Julien DORE. A la réflexion je ne ferais pas cet article pour éviter des diatribes enflammées des adorateurs du chouchou et de la barrette. Julien DORE s’est vu décerné deux victoires, une au titre de « révélations de l’année » pour son album ERSATZ, album qui d’ailleurs porte bien son nom si l’on prend la définition du mot (sous produit, succédanée, voire produit de remplacement) et l’autre pour le vidéo clip de l’année « Les limites » qui pour moi ont été atteinte quant je l’ai visionnée dés les premières secondes. Julien DORE à droit à son public, j’aime des chanteurs et des musiques que d’autres n’aiment pas, chacun ses gouts, je les respecte, ce qui pourrait être une discussion au boulot autour de la machine à café ou chacun fait par de ses affinités et de son ressenti se transforme ici parfois en charge virulente, je n’ai donc pas le droit dans ce qui est mon blog, de faire partager mon opinion ou d’avoir une critique saine, mais je passerais pourtant outre. Ce chanteur car telle est sa définition se définit lui-même comme quelqu'un « qui est là ou on ne l’attend pas » ca tombe bien car pour moi il n’est nulle part. Voilà je n’ai pas dit du mal de Juju DORE, juste que je ne l’aime pas ce qui est tout à fait mon droit. Suis-je donc condamné à l’avenir à ne faire que des articles gentils ou vais-je devoir me spécialiser et disserter sur la sodomie des coléoptères en plein vol ? Petit coup de chapeau à Alain BASHUNG pour l’ensemble de son œuvre pour le reste chacun se fera sa propre opinion……………….