Selon l'article 18 du code de déontologie international, « la communication de marketing ne doit pas exploiter l'inexpérience ou la crédulité (des enfants ou des adolescents) », les lecteurs doivent pouvoir distinguer - et rapidement dans le cas de la presse jeunesse - ce qui est publicitaire de ce qui ne l'est pas.
Pourtant, l'Areva bougonne et considère qu'elle n'a pas enfreint la loi, en ayant recours à des polices différentes, un logo qui diffère légèrement de celui de l'entreprise, et du fait que l'on puisse lire « publi-information, écrite chaque fois de façon très claire ». L'AFP qui a contacté le groupe rapporte que dans Science et Vie Junior, la mention « Areva l'énergie au sens propre » dans un carré particulier témoigne de cette distinction.
La décision de l'ARPP sera connue dans une dizaine de jours. Toutefois, il est à noter que seuls Images Doc, Sciences et Vie Junior et Milan Presse, furent aujourd'hui entendus pour leurs parutions de décembre. Lesquelles ont depuis été arrêtées...