Périodiquement, c’est aussi l’objet de ce blog, je donne des nouvelles de l’évolution de mon prochain ouvrage. Au fur et à mesure qu’il progresse, j’oscille entre le désir d’en approfondir « la genèse » et la volonté d’en garder secret le contenu. Je n’en dirai donc toujours pas davantage.
Ces vacances m’ont permis d’avancer, de profiter de l’utilisation du net book ou de simples feuilles A4 sur lesquelles j’édite un « morceau » que je retravaille. Attente chez un médecin, dans un café, sur une terrasse, dans une grande surface avant de « prêter main forte » pour le « panier de la ménagère »... Les occasions ne manquent pas et le manuscrit s’allonge encore.
L’ouvrage surprendra mes lecteurs, habitués à une certaine « douceur ». (Je me rappelle le point de vue de mon ami René Frégni, juge des « Nouvelles pour l’été » et m’affirmant que le lecteur préfère en général « le noir » au « rose »).
C’est un univers impitoyable que je décris et le héros en est particulièrement cruel et caustique. Et pour
cause, puisqu’il s’agit d’un insecte et que le modèle de Kafka n’est pas très loin. Relisez « la
Métamorphose » ou « Le Terrier » si vous souhaitez repérer un quelconque « héritage » ! Et patientez
jusqu’à ... la prochaine rentrée littéraire si tout va bien !
Chemin faisant, pour ceux que ces titres ne renseignent pas davantage, j’en dirai plus demain.
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